8.18.2011

REVUE DE PRESSE « DOUBLE DETENTE »




« Ecrit avec la subtilité des grands pudiques, et surtout avec plein de violons élégants. L’héritage de la variété Berger-Sanson à la sauce 2011, avec une bonne dose de blues moderne et sophistiqué. » (Marion Bernard, France-Info, 7/03/2011)

« Alister a juste décidé d’enregistrer de grandes compositions : avec lui, impossible pas français » (Benoît Sabatier, Technikart, 03/2011)

« Le dandy destroy signe son grand retour avec ce disque impeccable, façon pop française 70’s » (Be, 03/2011)

« Avec ce nouveau projet, le chanteur fait souffler un vent nouveau sur la scène française » (Guillaume Torrent, MusicActu, 14/03/2011)

« L’album est d’une beauté sans nom » (Christophe Deodato, Gonzaï, 02/2011)

« Son deuxième album est classieux. Moi qui suis un vrai laborieux j’adore ce genre de faux dilettante » (Xavier De Moulins, Elle, 25/03/2011)

« On ne saurait donc trop résister à ces chants de sirènes qui nous somment de suivre Alister jusqu’au bout de nous-mêmes » (Ivan Eissendi, A Nous Paris, 28/03/2011)

« Avec son deuxième album, « Double Détente », ce trentenaire s’inscrit parmi les plus belles révélations de la chanson actuelle » (Pierre De Boishue, Le Figaro, 29/03/2011)

« Un genre de mahatma gandin » (Bayon, Libération, 29/03/2011)

« Alister est le dandy morose de l’époque, chevalier perdant éperdu de Nationale 7 et de plages californiennes » (Thomas Ducres, Technikart, 03/2011)

« Ici chaque chanson répond à la précédente déployant une profonde intelligence de la vie dans les années 2010 » (Philippe Nassif, Glamour, 04/2011)

« Avec son nouvel album « Double Détente, Alister allie la décontraction de la variété légère à l’esthétique sophistiquée des productions de Sébastien Tellier » (Timothée Barrière, TéléObs, 1/04/2011)

« Un mix entre la poésie de Christophe et le rock de Lou Reed. 
Autrement dit, à un savoureux cocktail composé de belles mélodies et de textes qui marquent » (Au Féminin, 2/04/2011)

« Alister est courageux : il ne voulait pas refaire Aucun mal ne vous sera fait. Ce qui aurait été tentant et lui aurait garanti son public. Avec Double Détente, il part à l’aventure – en excellente compagnie. Souhaitons-lui bon vent. » (Jean-Claude Demari, Le Monde, 11/04/2011)

« C’est ça l’effet « Double Détente », comme double lecture, double jeu d’un artiste à la fois caustique et attachant, parti sur des chemins non-balisés » (Emmanuel Marolle, Le Parisien, 13/04/2011)

« Ses chansons résonnent d’émotions sourdes et elles n’en sont que plus fortes » (Gilles Médioni, L’Express, 20/04/2011)

« Son nouvel album, « Double détente », va plus loin : mélodies gracieuses, arrangements de cordes raffinés, présence de synthé, textes toujours acérés, voix plus limpide, grandes chansons ('La Femme parfaite', 'Drame chez les riches', 'Je suis loin')… Comme si un Maurice Ronet chevelu chantait des textes troussés par Antoine Blondin sur une musique concoctée à Abbey Road. » (Louis-Henri de la Rochefoucauld, Evene, 04/2011)

« Comme sur son précédent disque, il livre dans ses chansons une chronique affûtée de la société, à la manière d'un Randy Newman ou d'un Elvis Costello » (Olivier Nuc, Le Figaro, 6/05/2011)

"Gros son pour cette pop mélodieuse sur laquelle se greffent, d'une voix traînante, des phrases saccadées pleines d'images" (Michel Troadec, Ouest-France, 22 Mai 2011)

""Qu’est-ce que c'est que ce bordel ?" chante Alister, dandy rock d'une société en sursis. Patrick Rambaud commente : "Bob Dylan à Saïgon". Tout est dit." (Bertrand de St Vincent, Le Figaro, 9/06/2011)

« Barbu et cynique, lucide et drôle : Alister est un chanteur doué, doté d’une écriture fine et originale qui, de « La femme parfaite » à « Drame chez les riches » et « La fonte des glaces », dessine un monde original qui prendra sans doute du temps avant d’être apprécié du grand public » (Le Soir, Thierry Coljon, 16/08/2011)

"Un album plus arrangé et accompli que son prédécesseur, dans lequel la langue de chez nous fricote avec Giorgio Moroder ou Harry Nilsson. Un mélange détonant qui passe comme une lettre à la poste" (Rémi Mistry, A Nous Paris, 17/10/2011)

"Face aux produits hypes et Kleenex, votez Alister, la seule chanson française qui refuse l'esprit petite épicerie pour oser la grandeur et l'audace" (Technikart, Décembre 2011)

Libellés :